L’Aude regorge d’autrices et d’auteurs aux œuvres à découvrir et à mettre en valeur. Ci-dessous, découvrez deux romans, l’un d’une autrice carcassonnaise et un second d’une autrice narbonnaise.
« Un jour… un soldat » de Line Martin, aux Editions Jets d’Encre.
Line Martin, Carcassonnaise d’adoption, reprend la plume et nous invite à découvrir deux personnages qui, malgré leurs différences, bouleversent leurs convictions au sujet de la tolérance, la guerre et l’amour. Un nouveau départ est-il possible lorsque les fantômes du passé réapparaissent ?
Le résumé :
Un soir d’hiver, Alison ferme la porte de sa maison laissant derrière elle un passé qui l’a profondément abîmée. C’est en cette froide nuit de décembre que la jeune femme trouve asile dans le couvent qui deviendra son havre de paix. Toujours hantée par les fantômes du passé, elle saisit l’opportunité d’une mission humanitaire au Bénin pour prendre un nouveau départ. Mais lors d’un bel après-midi elle croise la route d’Ayo, un jeune légionnaire. Alison est alors loin de se douter que la rencontre avec cet homme changera sa vie à tout jamais.
Née en Lozère, Line Martin s’éveille à la musique durant son enfance. Quelques années plus tard elle laisse libre cours à sa créativité en couchant des mots sur le papier. Actuellement jeune retraitée, elle poursuit son incroyable aventure avec ce deuxième roman.
« Tant que battra ton coeur » de Marie Grand, Léa Editions
Marie Grand autrice résidant à Narbonne, publie ici son deuxième roman après « Plaise à Dieu » publié chez France Empire, vendu à plus de cinq mille exemplaires, aujourd’hui en rupture de stock et prochainement réédité par Léa Editions. « Tant que battra ton cœur » est un thriller psychologique et une fiction prémonitoire d’un véritable fait divers mis au jour quelques années après l’écriture du roman.
Le résumé :
« Tout ce que Renaud a fait ce matin-là, beurrer mes tartines, avaler son café, tracer sur le miroir de la salle de bains surchauffée un cœur de buée, passer son manteau, m’embrasser, tout ce que Renaud a fait ce matin-là il le faisait pour la dernière fois, et je ne le savais pas ; tout ce que Renaud a fait ce matin-là c’est prendre son vélo, malgré le froid, et se trouver au mauvais endroit au mauvais moment, à ce carrefour à huit heures cinquante… le choc. »