Jean-Marc Barroso sera en séance de dédicace toute la journée du 25 juillet à la librairie Cultura de Narbonne pour y présenter son dernier roman intitulé Aïcha, phénix 1845-2016 (L’Harmattan).
Déjà le quatrième ouvrage pour Jean-Marc Barroso, après Les oiseaux noirs (Olivier Orban 1983), La Loca (Olivier Orban 1984) et Le désert des reines (Mon Petit Editeur 2014). Fasciné par l’Algérie sa terre de naissance, ses grands-parents espagnols s’y étaient installés voici quatre générations.
Synopsis :
Une enfant audacieuse et rebelle, Aïcha, de la tribu des Ouled Riah, est soudain frappée de dysarthrie : la fillette perd la parole à la suite des violences dont elle est témoin sur sa communauté. Au fil de rencontres inattendues, l’orpheline se métamorphosera en une résistante à la cause des siens, crâne et téméraire, respectée, contre l’occupant français.
Devenue adulte, et jusqu’à un âge fort avancé, Aïcha se révélera une meneuse écoutée aussi par son clan le plus rapproché. Ainsi passera-t-elle le flambeau de son combat à ses descendantes, dont l’une nous mènera jusqu’en 2016, pour verser dans le terrorisme islamiste.
Cette saga, haute en rebondissements de toutes sortes, se déroule en Algérie. Commencée en 1845, elle s’achèvera au XXIe siècle, et pour cause : chair blessée ne se retire. Ce roman de circonstances, à la tonalité d’un conte, atteint rapidement l’universel.
Jean-Marc Antoine Barroso (ph. DR), professeur de lettres dans l’enseignement technique, commissaire d’exposition de type Land Art, est né à Oran. Il n’a de cesse de déclarer, à l’instar du grand compositeur Wagner : « L’art est un cri qui signifie : je voudrais ».